C’est la faute aux femelles : à écouter son toubib que seule la géolocalisation de l’OMS importe, il faut admettre les risques des problèmes d’estomac, d’intestin ou autres pour se protéger du palu.
A cette saison (sèche), moi je préfère l’élégance des longues manches et la frivolité des parfums soutenus au Deet pour échapper aux piqûres des femelles… moustiques bien évidemment.
Bon, bon les pilules : L’accord est par contre unanime sur la pharmacie de base du voyageur, agrémentée de quelques « bonbons » plus perso. A chacun ses goûts et ses couleurs.
Morale de l’histoire : Comme m’a dit mon chef, vous êtes tous piqués pour aller dans des coins pareils. Déjà sous terre il fait noir et humide alors qu’à l’extérieur, c’est plein soleil ! Mais mettre les pieds où personne ne les a jamais posés est à ce prix !
JPB